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cette moitié de pomme verte d’où nous sont venus tous nos malheurs.

Nous n’avons point l’intention de nous étendre sur cet événement à jamais regrettable, mais il est bien permis de laisser échapper une plainte en passant, quand on songe que sans ce fruit mangé hors de propos, nous serions tous jeunes, beaux, bons, doués de la science infuse et à l’abri de la chute des cheveux.

Or, figurez-vous seulement un monde sans perruques et sans professeurs !

Tel était le paradis terrestre…

— Stephen, mister Stephen ! cria Betty en