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passé le seuil, que la tête alourdie du marquis se renversa sur le dossier de son siège. Il s’endormit aussitôt profondément.

Nous n’attendrons pas son réveil pour faire connaître au lecteur la suite du rapport du docteur Moore ; mais auparavant nous le conduirons, rétrogradant de quelques jours, au chevet de Frank Perceval.

Trois gros volumes nous séparent maintenant de ces événements, racontés à la fin de la première partie de notre histoire. Néanmoins, tenant en naturelle aversion les coups d’œil rétrospectifs, nous risquerons tout au plus un résumé de quelques lignes :

C’était, si le lecteur s’en souvient, le sur-