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l’honorable frère cadet du comte de White-Manor.

Et il se creusait journellement la cervelle pour deviner le motif de cette munificence dont l’à-propos lui échappait. C’était en vain, et ce devait être en vain toujours, parce que les motifs du marquis étaient trop en dehors du cercle d’idées où gravitait d’ordinaire la pensée de Tyrrel, pour que ce dernier tombât par hasard sur la vérité.

Quant au docteur Moore, il avait plus de moyens pour soulever le voile. Rio-Santo l’avait admis, non pas à son intimité ou même a rien qui pût y ressembler, mais à une fréquence de rapports favorable à ses désirs curieux. Le docteur avait ses entrées à Irish-