Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/103

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

jeune Italien ne tourna donc point de ce côté l’espionnage de son dévoûment alarmé. — Il essaya de voir et d’écouter, par la porte donnant sur le corridor intérieur d’Irish-House, porte par où nous l’avons vu entrer tout à l’heure. Pendant long-temps, il n’entendit rien et ne vit rien.

Un soir enfin, des bruits étranges parvinrent jusqu’à lui. Une voix rauque et monotone se prit à chanter le refrain populaire d’une ballade écossaise.

Puis un silence profond se fit.

Puis encore Bembo crut entendre un double râle et des gémissements qui se confondaient. — Son inquiétude ne connut plus de