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réunis, m’enseigneraient en même temps la musique.

Cela fut ainsi, milord. Dans mes journées, désormais entièrement remplies, il n’y eut plus de place pour l’ennui ou pour la rêverie : à peine en resta-t-il une toute petite pour la réflexion.

Bien que je n’eusse point les mobiles étrangers qui, d’ordinaire, poussent les jeunes filles au travail, j’étudiai avec une bien grande ardeur. Tout ce qu’on me montrait était pour moi si complètement nouveau, que tout m’intéressait au degré suprême.

Est-il besoin de vous le dire, milord, lorsque mon maître m’enseigna d’abord la lec-