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sier fut obligé de jeter par la salle son monotone : — Saêlen’ce !

Mon père écouta l’arrêt sans manifester la moindre émotion. Roboam, au contraire, poussa un cri sourd et se frappa la poitrine avec désespoir. Mon père lui adressa un regard de pitié.

— Pauvre fou ! dit-il encore ; — au revoir, miss Suky !

Ses gardiens l’entraînèrent.

Nous regagnâmes notre maison de Faringdon-Street. Mon atonie était arrivée à son comble. J’éprouvais une insensibilité complète et générale. — Tous ce que je viens de vous raconter, milord, ne m’arracha pas une larme,