Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/271

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Il continua durant quelques minutes encore à s’entretenir de choses que je ne pouvais point comprendre. Il parlait d’un lord puissamment riche, qui éloignerait de lui la honte à tout prix et qui prodiguerait la moitié de sa fortune pour ne pas voir traîner son écusson dans l’égout…

— Et il ne prononça point le nom de ce lord, madame ? interrompit Lancester.

— Non, milord… il l’appelait le comte… Peut-être, au reste, quelques mots lui échappèrent-ils qui auraient mis tout autre que moi sur la trace de sa pensée, mais moi je ne comprenais pas, et la scène affreuse qui suivit a mis du trouble dans mes souvenirs…