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blable à celle des Indiens pour leurs redoutables fétiches.

Il avait sous la main, dans le cabinet de travail, des armes à profusion, et il n’essaya jamais de s’en servir contre Ismaïl.

Dans nos voyages, où il nous suivit constamment, en France, en Italie, dans l’Orient, il était libre, et ne tenta jamais de s’enfuir.

Sa servitude était en quelque sorte volontaire. Mon père exerçait sur lui un pouvoir absolu, et qui n’eût pas eu besoin du brutal appui de la force.

Nous restâmes environ six mois encore à Londres après la scène que je viens de vous