Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/137

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

fait un signe d’intelligence, buvaient, souriaient et regardaient Eliezer en dessous.

Celui-ci faisait subir au billet un minutieux examen.

Au bout de deux ou trois minutes, il ôta ses lunettes et tendit le papier à mon père.

— Réflexions faites, frère Ismaïl, je n’ai pas d’argent, dit-il d’un ton délibéré.

Mon père fronça le sourcil. Une violente contrariété se peignit sur son visage. — Les rieurs passèrent du côté d’Eliezer.

— Vous étiez disposé tout à l’heure ? commença-t-il.