Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/99

Cette page a été validée par deux contributeurs.


IV


UN ABORDAGE.


Maître Gruff se leva lentement, secoua la poussière qui couvrait ses vêtements, et tâta ses membres meurtris.

— Du diable, s’il n’a pas été bon enfant, grommela-t-il ; je m’attendais à pis que cela.