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menaces à l’aide desquelles on essayait autrefois de l’effrayer avaient pris fin. Ceci était le résultat des recommandations du marquis de Rio-Santo. Le marquis avait paru vouloir la prendre sous sa protection. Quels que fussent les motifs de cette bienveillance, et Tyrrel non plus que la petite Française n’étaient point gens à se faire scrupule de supposer le mal plutôt que le bien, le marquis avait passé, cela suffisait.

De son poste d’observation, où elle se rendait, du reste, dès que Brian ou même la comtesse de Derby franchissait le seuil de la maison, madame la duchesse douairière de Gêvres n’avait pas perdu un mot du romanesque récit de Lancester.