Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/25

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Jusqu’à minuit ! répéta Clary dont les sourcils se froncèrent légèrement ; — Dieu veuille que notre père arrive !… As-tu remarqué cette femme, ma sœur ?

— Certes, Clary, et je l’aurais embrassée de toute mon âme… Je commençais à étouffer de peur.

— Ne trouves-tu pas, reprit Clary comme si elle eût pensé tout haut, qu’il y a dans son regard quelque chose d’étrange ?

— D’étrange ?… non, en vérité… Quelque chose de fort avenant…

— Son sourire m’a fait mal, dit Clary à voix basse.