Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/80

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le comte se laissa retomber sur son siège.

— Mais milord… voulut dire humblement Paterson.

— Tais-toi, de par le ciel, traître valet que tu es ! s’écria lord de White-Manor ; — Va-t’en… sur-le-champ ! je ne veux pas que tu couches en ma maison… Demain, tu emporteras ce qui est à toi et ce que tu m’as volé… Jusqu’à la nuit, tu pourras rester ici… mais tu ne dormiras plus sous mon toit.

Le comte appuya sa tête alourdie sur sa main.

— Tu es cause qu’il me tuera ! murmura-t-il d’une voix sourde ; — car il me tuera !… Va-t’en !