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coup ses regards vers la maison de la mère de Stephen. Il semblait alors inquiet et chagrin, cela d’autant plus que sa faction durait plus long-temps. Il s’agitait, frappait du pied et imprimait à ses épaules ce mouvement ignoble que les mendiants de tous les pays apprennent en revêtant la livrée de la misère, et qu’on n’a point accoutumé de voir sous le fier costume des montagnards d’Écosse.

Vers trois heures de l’après-midi, Stephen Mac-Nab, profitant, comme nous l’avons dit, de la présence du malheureux sir Edmund Mackensie au chevet de Frank Perceval, vint rendre visite à sa mère.

En le voyant venir, l’Écossais s’enfonça dans Finch-Lane.