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Mistress Crubb, qui l’avait aperçu la première, prit à peine le temps d’achever sa neuvième tasse de thé, tant elle était pressée d’apprendre à mistress Foote une chose aussi extraordinaire. Mistress Foote déclara les jambes de l’Écossais choquantes, mais mistresses Bloomberry, Brown, Bull et Dodd soutinrent, non sans quelque apparence de raison, que cette partie du vêtement masculin, qui n’a point de nom dans la langue de nos dames[1], est mille fois plus shocking que la nudité elle-même. Mistress Black et mistress Crosscairn affirmèrent qu’il y avait du pour et du contre.

  1. Les culottes ou inexpressibles. — Nous reparlerons des grotesques scrupules de la pudeur anglaise.