Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/276

Cette page a été validée par deux contributeurs.

milady, que vous veuillez vous obstiner à défendre Frank Perceval…

— Mais je ne le défends pas, milord.

— Ah !… À la bonne heure !… Et que voulez-vous me parler de mariage, alors, milady ?

Lady Campbell hésita un instant. Certes, elle n’avait pu espérer un si heureux début. Son frère faisait la moitié du chemin, mais la transition était brûlante, et lady Campbell connaissait trop la bonté de son frère pour se fier à cette rancune du moment, quelle qu’en pût être d’ailleurs la cause.

— Milord, répondit-elle d’un air mystérieux, c’est un grand secret.