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grand conseil entre lui et lady Campbell. Cette spirituelle femme, laissant à diverses reprises le marquis seul dans son boudoir, avait fait diverses excursions, soit dans l’appartement de miss Mary, sa nièce, soit dans celui de lord James Trevor, son frère.

Évidemment c’était un moment de crise. L’heure de l’assaut avait sonné. On voulait emporter la place de vive force.

Le marquis avait, d’autorité, imposé silence à sa poésie, à ses velléités chevaleresques, comme on renvoie en bonne stratégie, toutes les bouches inutiles à l’instant du combat.

Il était cuirassé, armé de toutes pièces, incapable de faiblir, prêt à tout. — Sa volonté