Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/227

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Asseyez-vous, ma chère lady, reprit-il, Dieu me damne, asseyez-vous… J’ai fréquenté, ou que Satan me berce ! plus de duchesses et de pairesses, — ma foi ! — qu’il n’en tiendrait en ce salon, et je sais comment on se conduit avec les femmes comme il faut… Asseyez-vous aussi, Maudlin, astucieuse femelle de paillasse, si cela vous fait plaisir… là !… Et maintenant, de par Dieu, — que le tonnerre m’écrase ! — parlons affaires. Que voulez-vous ?