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restait là, debout, immobile et réduite en apparence à un état d’insensibilité complète.

Au bout de ce temps, une petite porte, située immédiatement au dessous du conduit acoustique, tourna sur ses gonds et un groom en livrée parut sur le seuil. La comtesse Cantacouzène prit lady Jane sous le bras et la fit entrer dans un couloir que trois portes, situées à quelques pieds seulement l’une de l’autre et fortement garnies en fer, séparaient de l’infernal cloaque qu’elle venait de quitter.

La troisième porte, ouverte, laissa voir le grand jour.

Lady Jane poussa un soupir de soulagement et joignit les mains.