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Lady Jane se boucha aussitôt les oreilles ; puis elle retira ses mains de ses oreilles pour protéger ses narines contre l’horrible odeur qui venait de la suffoquer tout-à-coup.

Ses yeux s’étaient instinctivement fermés.

— Oun pochissimo de courage ! répéta la petite vieille.

Lady Jane releva ses paupières avec effort.

Ce qu’elle vit, ce qu’elle entendit, ce qu’elle sentit ne se peut point décrire exactement. Le livre s’échapperait des mains du lecteur si nous nous permettions une peinture quelque peu fidèle.

Il est des teintes qu’il faut savoir adoucir[1].

  1. Nous croyons devoir rappeler au lecteur que nous ne