Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/201

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Voilà le bien de la vostre sérénissime échellenze, dit-elle. J’ai voulu lui épargner la peine de s’en occuper tant qu’a duré le voyage.

Et comme lady Jane hésitait à s’engager dans les ténèbres épaisses et vides qui régnaient au delà de la porte improvisée, la petite femme exécuta une cérémonieuse révérence et reprit :

— Que la Vostre Altesse veuille bien passer la première et me permettre de lui faire les honneurs… zo souis de la maison.

Lady Jane, surmontant ses frayeurs, franchit le seuil. La petite vieille femme la suivit de près ; et tout aussitôt un fracas de planches