Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/200

Cette page a été validée par deux contributeurs.

teurs qui se présentaient, lady Jane B… crut de plus en plus qu’elle rêvait. Ce fut la petite vieille femme qui se chargea de lui démontrer la réalité de tout ce qu’elle avait vu.

— Faites le tour, Joe, dit-elle au cocher, et allez nous attendre devant la grille.

Puis, s’avançant vers le fiacre, elle tendit sa main blanche et ridée à lady Jane.

— Que la Vostre Altesse veuille bien faire diligence, ajouta-t-elle en saluant profondément ; — cette entrée ne reste jamais longtemps ouverte.

Lady Jane descendit et la vieille femme lui remit le petit coffre en palissandre, qu’elle avait dextrement caché sous sa douillette.