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— Bonsoir, Peg, dit-il en changeant tout-à-coup de ton ; — bonsoir.

— Seigneur Dieu ! Gilbert, comme vous avez grossi, — et vieilli, — et grisonné, mon homme.

— Bien, Peg ?… On se bat chez vous, ce soir ? J’attendrai que la bataille soit finie.

— Pourquoi faire ?

— J’ai besoin d’un coquin sans peur et sans entrailles, Peg !

— Pardieu ! Gilbert, vous aurez ici à choisir… Aidez-moi, je vous prie, à refermer ma porte.