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large nœud de satin jaune qui ne ressemblait à aucune décoration connue.
S’était-on moqué de lui ? — Snail commençait à le craindre. Il regrettait amèrement les bancs boiteux de La Pipe et le Pot, le menton barbu de la jolie Madge et même le stupide regard de Mich, son beau-frère.
Il s’ennuyait. — Pas moyen même de miauler pour passer le temps !
En désespoir de cause, il s’approcha du comptoir et demanda un verre d’ale. — On lui servit une glace.
Snail n’avait jamais mangé, — ou bu, — de glace. Nous pensons que son mécontentement