Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/74

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Je veux que Dieu me damne s’il le pourrait, Votre Honneur.

— Il faut essayer.

— C’est mon avis.

— Aussi bien, depuis que milord a changé de vie, mon crédit se perd. Croirais-tu bien, honnête Jack, que Sa Seigneurie m’a demandé l’autre jour quelques explications sur ses affaires ?

Bob prit un air profondément stupéfait.

— Est-ce bien possible ! dit-il sans rire.

— Ce n’est que trop vrai… Il est temps de le remettre en sa route. Je verrai cette jeune fille.