Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/253

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Les mains cessèrent de s’appuyer sur les hautes épaules de Paddy.

— Point de réponse ! grommela-t-il. — Du diable si je ne donnerais pas un shelling ou deux pour voir la figure de ce mystérieux coquin, — que je respecte, comme c’est mon devoir… Toujours des secrets ! Je ne suis pas curieux : mais si je ne savais que milords de la Nuit sont plus puissants qu’il ne faut pour me faire pendre, je trouverais bien moyen de voir clair en tout ceci.

— Paddy ! monsieur O’Chrane ! cria une voix lamentable sous le péristyle intérieur du théâtre.

— Bien, Dorothy, mon amour, gros ro-