Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/224

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Je ne suis pas petit, de par le diable ! épais coquin que tu es… Combien gagnes-tu !..

— C’est selon… pas grand’chose.

— À boire, Mich, dit Loo ; — et du tabac.

— Pas grand’chose, reprit Snail qui mit la main dans son gousset et en retira les guinées d’Edward and C° ; — eh bien, moi, voilà ce que je gagne, beau-frère, sans compter les aubaines.

— À miauler ? dit Mich, dont les gros yeux exprimaient une stupéfaction complète.

— À miauler, mon beau-frère, à miauler comme un matou au mois de mars… Tiens,