Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/222

Cette page a été validée par deux contributeurs.

complète ; Mich regarda sous la table de la meilleure foi du monde, ce qui donna occasion à Loo de vider le verre de son amant d’un seul trait.

Ce ne fut pas tout, Peg Wich et Assy-la-Rousse s’élancèrent dans le comptoir, armées de manches à balais, pour chasser le prétendu matou qui poussait des cris si lamentables.

Le triomphe de Snail était complet.

— Du gin ! sorcière Peg ! dit-il, garde tes manches à balais pour le sabbat… Ma sœur Loo étrangle de soif et ma jolie Madge a le gosier sec comme… Allons ! comme n’importe quoi… Du gin !