Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/142

Cette page a été validée par deux contributeurs.

répondit Jack en se levant ; — le brigand tenait d’une main la petite bouteille, de l’autre la charpie… Sur un geste de ce docteur, — qui est peut-être un brave homme après tout, — le coquin d’apothicaire a mouillé la charpie. Alors vous avez bougé ; l’apothicaire a caché la fiole… le diable sait où… et jeté à terre la charpie qu’il a couverte de son pied… Tenez ! elle doit être là encore.

Jack fit le tour du lit. Stephen le suivit. — Non, reprit le vieux valet ; — la charpie a disparu, mais on voit encore la marque.

— La marque ?… interrompit Stephen ; — où ?

Jack lui montra une trace rougeâtre, humide