Page:Féval - Les Compagnons du trésor, 1872, Tome II.djvu/291

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


XXIII

Fin de l’histoire du cimetière


Vincent Carpentier avait mis ses coudes sur la table et tenait sa tête entre ses deux mains, qui rebroussaient sa barbe inculte et ses cheveux hérissés. Ses yeux mornes regardaient le vide.

Échalot, son gendarme, tombait littéralement de sommeil. Il restait solide à son poste, mais son cou ne pouvait plus supporter ses oreilles, c’était en rêve qu’il répétait de temps en temps :

— A-t-elle du talent pour l’élocution, ma femme !