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m’appartient, puisque je l’ai découvert !

Ses yeux qui brûlaient s’éteignirent tout à coup.

Il jeta sur Irène un regard atone. Sa voix s’étrangla dans sa gorge et il poursuivit tout bas, répondant à une question qui n’avait point été faite :

— Où il est ? Nul ne le saura. Ni Reynier, ni toi. Cela brûle, cela tue. Je le garde pour moi, pour moi tout seul, car c’est la mort !