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XVII

Chez le cavalier Mora


Le fauteuil où Irène venait de s’asseoir était auprès de la fenêtre donnant sur le chemin des Poiriers et le cimetière.

L’autre croisée, celle où nous avons vu apparaître le cavalier Mora pour la première fois, au moment où le soleil couchant allumait les lettres composant le nom du colonel Bozzo Corona, gardait ses persiennes fermées.

Il y avait un vide si singulier dans l’esprit d’Irène qu’elle ne songea même pas à s’approcher de cette