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XV

Départ d’Irène


C’est à peine si les bruits de la ville arrivaient en murmures confus jusqu’à ce lieu si éloigné des centres où s’agitent nuit et jour, dans Paris, le plaisir et les affaires.

On n’entendait que la plainte du vent dans les arbres du cimetière et le bruit déjà plus rare de quelques voitures cahotant sur le pavé des boulevards extérieurs.

De temps en temps, l’horloge d’une usine disait le passage des heures. Il se faisait tard, et la comtesse