Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 2.djvu/449

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le bruit de la porte, qui s’ouvrait en ce moment, couvrit une exclamation, arrachée à Mylord par ce dernier mot.

Zonza parut au seuil et dit avec un singulier accent :

— Voici l’aveugle, mais elle n’est pas seule !