Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 1.pdf/395

Cette page a été validée par deux contributeurs.

dez : c’est à la page 4 de l’ordinaire de la messe, un papier…

Domenica respira fortement. Laure s’arrêta encore.

Mais au bout de quelques secondes, elle reprit d’elle-même et couramment :

— Un papier très-fin, une lettre ; vous la lisez, vous poussez un cri, vous devenez plus pâle qu’une morte, on s’empresse à vous secourir…

— Après ? après ?

Laure ne répondit pas.

— Pourquoi me suis-je trouvée mal ? demanda la marquise dont la voix chevrotait.

Laure fronça le sourcil et répliqua d’un ton irrité :

— Silence ! Ne pouvez-vous attendre ? Vous voyez bien que je suis à lire la lettre !