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DEUXIÈME PARTIE.
LE MANOIR
(SUITE.)
III
mystères.
La partie grave et discrète de l’assemblée, qui se respectait trop pour prendre part à la danse, commençait à trouver le bal monotone et long. Les commérages languissaient, parce qu’on avait déjà médit de tout le monde. L’évanouissement de Blanche fit à l’ennui naissant une diversion tout agréable et vint raviver l’entretien.
Ce cercle respectable se composait de trois vicomtes, qui avaient été des hommes à succès