Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/270

Cette page n’a pas encore été corrigée
255
DE PARIS.

DE PARIS. 255 exprimer l'énergie d'une inflexible volonté, s'étaient en quelque sorte alfaissés. A čette heure matinale où l'artifice quoti- dien de sa toilette n'avait point encore essayé de recouvrir les atteintes trop visibles d'une précoce décrépitude, on l'eût pris tout à fait pour un vieillard. Sa joue plissée et jaunie avait çà et là des taches livides; une teinte de plomb courait, mate, sur son cràne dépourvu de cheveux. Les nerfs de sa face avaient de fréquens et douloureux tressaillemens. Sa taille ample se coprbait, jusqu'à paraitro chétive; sa main velue, où brillaient de super- bes bagues, avait une pâleur maladive; toute