Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/178

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
166
LES AMOURS

– Chapeau bas ! s’écria-t-elle avec véhémence.

Polype se découvrit d’un geste machinal.

– Madame ! madame ! dit la marquise, en touchant la main de sa belle-mère, – votre fils repose…

La duchesse la repoussa durement.

– Laissez, madame ! reprit-elle.

Et, se tournant vers le principal locataire immobile, elle ajouta :

– Je suis Berthe de Dreux, femme de Jean III de Maillepré, duc de Maillepré, marquis d’Avalon, comte de Pontroy et de