Page:Féval - Le Bossu (1857) vol 4-6.djvu/425

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XII

— La fascination. —


Pour ne point comprendre ce que la situation avait de terrible, il n’y avait là que dona Cruz et ces dames.

Toute la partie mâle de l’assemblée, financiers et gentilshommes, avaient le frisson dans les veines.

Cocardasse et Passepoil avaient les yeux fixés sur le bossu comme deux chiens tombés en arrêt.

En présence de ces femmes étonnées, inquiètes, curieuses, en présence de ces hommes, énervés par le dégoût, mais qui n’avaient point