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LE BOSSU.

Mais Gonzague lui-même venait de leur rendre l’espoir par la commission qu’il leur avait donnée. Gonzague doutait ; Gonzague voulait qu’on lui retrouvât le cadavre de son mortel ennemi.

Gonzague avait assurément ses raisons pour cela. Il n’en fallait pas plus à nos deux braves pour trinquer gaiement à la santé de Lagardère vivant.

Quant à la seconde partie de leur mission : chercher les deux braves qui avaient défendu Aurore, c’était chose faite.

Cocardasse se versa rasade et dit :

— Il faudra trouver une histoire.

— Deux histoires, répondit frère Passepoil : une pour toi, une pour moi.

— Eh ! donc, je suis Gascon ; les histoires ne me coûtent guère.

— Je suis Normand, pardienne ! Nous verrons la meilleure histoire.

— Tu me provoques, je crois, pécaïre !

— Amicalement, mon noble camarade… Ce sont des jeux de l’esprit… Souviens-toi seulement que nous devons avoir trouvé, dans notre histoire, le cadavre du Petit Parisien…

Cocardasse haussa les épaules.

— Capédébiou ! grommela-t-il en humant la