Page:Féval - La Rue de Jérusalem, 1868.djvu/74

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


VII

Suavita.


Nous rétrogradons de quelques heures pour pénétrer enfin dans cette mystérieuse maison à deux étages, dont nous n’avons pas encore franchi le seuil, mais qui a, sans nul doute, piqué la curiosité du lecteur, ne fût-ce que par le foulard rouge flottant comme un drapeau à son balcon.

Ainsi en est-il dans ces récits de l’histoire du crime, où l’écrivain n’a à dépenser ni beaucoup de talent, ni beaucoup d’imagination.

Les faits sont là qui se posent d’eux-mêmes en jalons ; les personnages existent ; il