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V

La fermière de Carabas.


Nous arrivons à l’histoire du fils du roi qui voulait épouser la vieille bergère normande et ses millions.

Ceci n’est point un conte de fées, et Jules Sandeau, dans son admirable comédie : Mlle de la Seiglière, a eu bien raison de placer ce paysan chevaleresque qui se dévoue si simplement, mais si magnifiquement, à sauvegarder l’héritage de son maître.

Le fait est vrai, il y a eu nombre de faits du même genre qu’il est bon de livrer à la publicité pour réhabiliter l’honneur campa-