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III

La mansarde.


Paul Labre laissa échapper un grand soupir, et son dernier regard fut pour les persiennes closes derrière lesquelles était son rêve.

Il poussa les battants de la croisée qui, en se fermant, firent presque la nuit dans la mansarde. Il alluma une pauvre petite lampe à bec qui était sur la commode, et revint s’asseoir devant la tablette du secrétaire.

Non, ce n’était pas un poète. Du moins, il ne faisait pas de vers. Les lignes serrées qui couvraient à demi son papier étaient égales et allaient jusqu’au bout de la page.