Page:Féval - La Rue de Jérusalem, 1868.djvu/14

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


II

Un coin du vieux Paris.


Clampin, dit Pistolet, souffla sur son allumette chimique et se mit à réfléchir.

— Ça doit être crânement bon pour M. Badoît, cette histoire-là, pensa-t-il.

Le bruit sourd avait repris ; Pistolet savait maintenant pourquoi les chocs répétés de la pioche ou du marteau semblaient si lointains : il y avait le matelas.

Pistolet pensa encore :

— Il ne faut pas plaisanter avec le marchef. Il a une manière pour tuer le monde