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QUATRIÈME PARTIE.

Et, tout en parlant, elle secouait la pauvre lady, qui perdait le souffle et se mourait d’épouvante.

Francès s’élança encore une fois au secours de son amie.

Elle eut un aide qu’elle n’espérait point : Crackenwell, qui s’était glissé tout doucement le long de la muraille, arriva en même temps qu’elle auprès de mistress Wood, et la saisit à bras-le-corps par derrière.

L’ancienne servante poussa un rugissement de bête fauve et se débattit avec rage.

Elle lâcha les bras de lady Georgiana, qui tomba sur un siége évanouie.

Francès la soutint entre ses bras et lui fit respirer des sels.

Montrath regardait tout cela d’un œil hébété.

— Lâche-moi, Crackenwell ! criait Mary Wood qui s’épuisait en vains efforts pour se dégager ; lâche-moi ! misérable traitre !… tu seras pendu, toi aussi !… nous serons pendus tous les trois !… Ah ! ah ! vous verrez, vous verrez ce qu’il en coûte pour résister à Mary Wood !…

Crackenwell avait hésité longtemps ; mais à présent sa résolution était prise ; il serrait Mary à l’étouffer, et, malgré sa vigueur, l’ancienne servante commençait à faiblir.