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IV

L’enlèvement.


« … Morris ! oh ! Morris, à mon secours !…

« Je souffre bien ! Vous qui m’aimiez tant, pourquoi m’avez-vous abandonnée ?

« Hélas ! fallait-il me punir pour le crime d’un autre ? et deviez-vous me rejeter loin de vous, Mac-Diarmid, parce que George Montrath m’avait enlevée, pauvre fille sans défense, et conduite malgré moi au pays des Saxons ?

« Ou bien, Morris, avez-vous cru me servir en mettant sur ma tête une couronne de lady ?