Page:Féval - La Quittance de minuit, 1846 - tome 1.djvu/246

Cette page a été validée par deux contributeurs.
238
PREMIÈRE PARTIE.

On l’entendit prononcer un nom à voix basse, puis son interlocuteur mystérieux reprit joyeusement :

Musha ! Jermyn, mon fils, vous arrivez le dernier, mais vous voilà costumé comme il faut !… Du diable si vous n’avez pas volé la mante de votre cousine Ellen, que Dieu la bénisse !…