tants d’une échelle dépassaient l’appui de la croisée.
— Venez, sire, dit-il.
— N’aurai-je point l’adieu de lady Stuart de Rothsay ? demanda le roi, et quand la reverrai-je ?
— À bord du vaisseau qui conduira Votre Majesté en Écosse, sire, répondit la Cavalière invisible, car elle était dans la chambre voisine pour revêtir des habits d’homme.
Raoul descendit le premier ; le chevalier de Saint-Georges le suivait.
Dans la cour, les chevaux impatients piaffaient. Au rez-de-chaussée de la maison de poste et au premier étage, on voyait à toutes les croisées des lumières courir follement. Raoul se présenta à la portière de la chaise, où était l’épouse Boër.
— Descendez, comtesse, dit-il.
— Savez-vous ! s’écria l’épouse. Que je descende ! de mon propre carrosse !