— Quelle demoiselle ? demanda Raoul qui ne savait trop s’il devait rire ou se fâcher.
— La demoiselle Hélène, s’entend.
Raoul éclata de rire.
— Eh bien ! eh bien ! s’écria Nicaise en colère, elle vaut pourtant bien mieux que la poupette, oui ! Mais tout ça dépend des goûts. Promettez seulement de ne pas l’épouser.
— La demoiselle Hélène ?
— Comme de juste.
— Oh ! pour cela, mon brave, répondit Raoul, je te le promets de tout mon cœur !
— Alors, monsieur le vicomte, dit le fatout, lâchez-moi, allez, nous sommes camarades, je ferai tout ce que vous voudrez !
Raoul le lâcha de bonne grâce et poursuivit :
— Où en étions-nous ?
— À ce que vous n’étiez pas pressé de vous montrer costumé comme vous l’êtes.
— Pas plus que je ne suis curieux d’apprendre à M. le marquis de Crillon que je porte ici