Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome I.djvu/91

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


PREMIÈRE PARTIE

UNE ÉVASION ET UN CONTRAT

Séparateur


I

Le convoi du pauvre


En 1853, on mettait déjà la pioche dans les constructions qui entouraient la prison de la Force, destinée elle-même à disparaître bientôt. Il ne restait, sur l’emplacement actuel de la rue Malher, vers l’endroit où elle débouche dans la rue Saint-Antoine, en face du portail de Saint-Paul, qu’une belle vieille maison, dont la principale entrée était rue Culture-Sainte-Catherine.